jeudi 26 juin 2008

Oiseaux et Toros ...



















Avec la douce chaleur de ces derniers jours de juin, la ménagerie de l'ami Louis a pris ses quartiers d'été à Labauche.
Sur un bord de mur ou dans le pré, les oiseaux se dorent la pilule surprenant les agriculteurs en urgence de foin et le toros, les sommités à l'ombre surveille le cheptel.

lundi 23 juin 2008

Ensuite, les Traces de l' Indien…










Personne n'est en mesure de préciser le jour exact où la rencontre eut lieue pour la première fois ! Par contre on a la certitude absolue qu'elle eut lieu au cours de la dernière décennie du siécle passé et plus précisément en son milieu, certainement durant l'année 95 .
C'est Le Colporteur qui, avant de se retirer désigna L'éclaireur au Professeur Duchemin , au motif qu'il était le seul à pouvoir retrouver les traces de ses semblants d'histoires qu'il semait, condition sine qua non pour que l'éminent chercheur puisse à chaque fois commencer ses travaux … C'est donc pour ça et tout d'abord faire le tri entre vrais et faux semblants que Duchemin et L'éclaireur se rencontrèrent une première fois, sans bien sûr savoir, c'est évident, comme très vite ils deviendraient complices,et même si la réputation de l' Eclaireur comme spécialiste de la Géographie des Signes était notoire (Sur photo en haut à gauche on le voit au tableau au cours d'un séminaire de Géo-Sémiologie qu'il animait il y a environ une dizaine d'année… sur ce cliché il peut avoir alors environ 50 ans ? ) rien ne permettait de penser alors qu'ils développeraient tant d'affinités sur tant d'autres plans !
Pour interpréter les signes , la technique de L' Eclaireur est simple- mais ne faudrait-il pas mieux parler de pouvoir-, tout du moins si l'on se fit à ce qu'il en dit : D'abord, le regard sur tout et puis…et puis à un moment - qu'il décrit comme celui celui de "l'oeil du crapaud", tout, d'abord dans un même regard, ce tout, premier, semble se mélanger ou plutôt se juxtaposer enfin s'ordonner autrement ou se désordonner si l'on préfère, se déconstruire pour que sourde et se reconstruise comment dire, un truc qui ressemble à des fragments d'un corps bien plus familier qu' on ne l'aurait cru et que son sens premier le laisserait supposer . Une évidence s'impose, nous transporte littérallement et il se vérifie alors que la poésie est bien " ce flux, cette trajectoire, ce mascaret qui fait remonter jusqu'à sa source le grand fleuve de La Parole " comme a écrit Pierre Seghers à Antoine Perraudaud du moulin Richard de Bas !



L'Oeil du crapaud

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Alors que dans cet endroit singulier que l' Eclaireur avait repéré comme pouvant être un lieu de réminiscence, propice à l'apparition de l' Indien et alors que le Professeur, muni de son globe terrestre et de son globe céleste et s'appuyant sur son casque comme troisiéme point (fixe celui-là ) s'appliquait ainsi par triangulation à déterminer les points par lesquels eut pû passer l' Indien et qui une fois reliés auraient permis de déterminer sur le sylvo-gonio- circum l'itinéraire de son voyage, le cher Duchemin fut interrompu pour la seconde fois par la Meneuse des Leveuses qui, à mots à peine couvert semblait vouloir donner une indication qui viendrait confirmer les intuitions de L' Eclaireur et les travaux de Duchemin . C'est ainsi que, venant du bout du ponton de bois qui menait au cercle et se lovant dans le caducée qui en marquait le centre, elle psalmodiaa ce texte …" Tout ce que fait un indien, il le fait dans un cercle !……" : stupéfiant n'est-il pas? Ils étaient donc sur la bonne piste ce dont ils eurent confirmation peu aprés quand dans les pas de la meneuse ils atteignirent le Grand Totem de Fer sous la protection duquel l' Indien avait dressé un tepee de fortune pour abandonner, sous la garde d'un ange-chapeauté et sur un tapis de lucioles, l'arbre à mémoire à forme de femme , devenu trop lourd et surtout qui ne lui était plus indispensable pour poursuivre sa route alors qu'il lui semblait qu'il était maintenant en bonne voix et que l'arbre pourrait-être si nécessaire à d'autres qui suivraient .










mardi 17 juin 2008

Le nénuphar, la basse et la cascade ...




André Ricros en nénuphar sonneur de cornemuse,
et Jacques Puech à la clarinette basse.

Escapades en Velay - 2008

samedi 14 juin 2008

Courrier d'un (autre) lecteur…





















J'étais hier du voyage à pied qui s'est aventuré à travers la Face Cachée du Pays des Ignacs et j'ai lu également, dans ce même blog, le " courrier d'un lecteur " du lundi 9 Juin qui commence par :"J'étais hier du voyage à pied qui s'est aventuré a travers la Face Cachée du Pays des Ignacs" .
Je voudrais d'abord dire à ce Monsieur que contrairement à ce qu'il voudrait laisser croire il n'était pas tout seul et que du même coup il n'est pas le seul à pouvoir écrire une phrase comme : "J'étais hier du voyage à pied qui s'est aventuré a travers la Face Cachée du Pays des Ignacs"…puisque c'est la même que je rédige pour commencer ma lettre !
Cette premiére mise au point étant faite, je voudrais aussi lui préciser qu'il n'est pas le dernier à avoir rencontré Le Colporteur puisque moi aussi je l'ai connu et l'histoire que je vais raconter en administrera manifestement la preuve puisque c'est de lui que je la tiens ! Non mais d'abord !

Je vais vous parler d'un temps que…














Ci-dessous ( cliquer sur commentaires ) courriers de Sophie Maneval et Thierry Marc .

vendredi 13 juin 2008

Louis Perrin fait la une…

Notre Ami Louis Perrin fait la une du prestigieux magazine d'Art Cimaise, on en peut plus comme on est content pour lui…et pour nous pardi !
Il en a troublé et séduit plus d'une (et un ! ) avec ses deux oiseaux noirs présents sur les Escapades et son Toros plus familier à ceux de "notre cercle ", tant avec les Zeps il tient une place essentielle dans nos aventures qu' invitent à partager nos blogs :



http://voyageapied2.blogspot.com/ et











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Voici ce qu'en disait Lionel Alés de retour de la fête du 1er Mai chez Louis au "nouveau - Point Zéro " du Moulin de Ramond à Brassac :

A vous les Amis qui n'avez pas pu être de cette belle fête du Zep .
"Evidemment que seul un 1er mai pouvait sied à ses pieds. Loin des banderoles fatiguées par de vaines luttes, si loin des slogans criards dégueulés par mégaphones en panne d’imagination, encore plus loin de ces défilés désunis – soubresauts convenus d’un folklore où le front populaire et mai 68 se portent en médailles - se déroulait ce jour de la fête dite du travail, un fait dont la discrétion ne saurait cacher l’importance. L’ami Louis inaugurait son atelier. Avec ses portes grandes ouvertes, la minoterie déballait ses trésors … zeps, toros et autres envolées de matière. Orphelin du point zéro, ces œuvres retrouvaient le bonheur des regards curieux, de ceux qui dévorent d’un œil de côté, de ceux qui touchent l’air de rien, des émerveillements béats, des questionnements pantois, de l’émotion simple et palpitante. Dans les pièces où jadis la farine était reine, poudre de toutes les attentions, la ferraille, le bois et la peinture révèlent un univers riche et puissant : l’Art zep dans toute sa splendeur. Tant d’œuvres où l’artiste brasse la réalité au philtre de sa sensibilité, perce le regard d’exigence, se travaille à coups de lames et de silences pour nous donner un bout de sa chambre d’enfant, là où réside les songes, là où vibrent les cordes d’une musique intime, fragile et forte, en racine avec le monde. Si cette exposition d’été s’amuse de la rétrospective, elle jalonne aussi un temps dans le parcours de Louis car comme le bon vin de garde, ses œuvres vivent, se rident de rouilles, se tannent aux caprices du vent, aux flambées de soleil, aux caresses de la poussière. Voici donc le chemin singulier d’un artiste. Une trace comme une escale. Sous un soleil complice, nous embarquions à bord du moulin de Ramond. La Séoune se la coulait genre Mississipi, rugissant de toute son eau à la mémoire des bateaux à vapeur. D’ailleurs, sous l’appentis, le gang de l’Oncle Strongle distillait une musique pleine de cuivres, au banjo horloger et au swing New Orléans. La fièvre Al Capone nous tenait, avec le vin de pays et la poire frelaté, les éléphants roses aux coins du barbecue où des magrets de canard se doraient allègrement la couenne dans une fumée généreuse, improbables signaux indiens pour guider le visiteur perdu sur la route du Zep. Quelques pécheurs mouchards grommelaient des remous d’Admir, Mousse et compagnie et bientôt, le temps passant de rires en rires, la nuit s’empressa de recevoir le souffle du dragon. La flamme du premier feu, celle de nos colères, celle du sang et du cœur déchira la voute céleste, un air de carnaval avec son cortège de joyeux lurons célébrant tout à la fois le Zep, Bacchus et la vie. Puis, autour du feu, enfin apaisé, l’ivresse se glissa sous les draps, le grand zep veillant sur ce petit monde confit et heureux. La minoterie devenu arche de Zep est promise au bon vent et dans ses entrailles, d’autres rêves savent la couveuse, attendent la lumière… Longue route à toi, Louis. Avec toute ma tendresse. PS : Dire que je suis très honoré de recevoir avec Admir la distinction de Zep de l’année 2008 est un pléonasme. " Lionel Alés .

Lionel et Admir sont les Zeps de l'année 2008













La réponse de Louis :

Après avoir poussé le toro avec une grande maîtrise, Lionel a chevauché le dragon la nuit du 1er mai./…/ et :
Merci pour ton texte qui est un magnifique témoignage de cette journée, et des photos.
Comme tu peux le constater sur l'image qui suit, tu as été pris en flagrant délit de paparazzage.
Je t'embrasse. Louis .
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Louis et les Arts du Chemin , autres présences :





























jeudi 12 juin 2008

Au-delà du voyage…


Remisés les tissus , les échelles, les sculptures, les costumes et tous ces autres Riens qui font notre univers . Ce que l'on a vu plus ou moins au bord du chemin et ce qu'on n'a pas vu parcequ'on a pas eu le temps de l'installer , de le porter dans un dernier élan. Ce que l'on avait jamais montré et que nous même n'avions jamais vu déployé et qui désormais nous habite , jusqu'à un prochain départ, un prochain passage en pied de falaise , comme cette "délivrance" qui aurait pû être tirée de la grotte blanche au passage de notre colonne et puis donnée à pendre , à voir et à battre contre la paroi de lave sombre… …une prochaine fois, c'est sûr, d'autant plus qu'elle a été vue le lendemain, perlée de pluie, étale sur le versant et ainsi cet assemblage de "petas " venant à l'existence, devenait trésor après avoir reçu son baptème de regard…(Lire ci-après, "les mots du lendemain et du toujours " de Marie Staelens
en
cliquant sur commentaire )

mercredi 11 juin 2008

"Bonjour, c'est la presse !" ...

Les grands chamboulements qui agitent le groupe Bouygues et notamment sa filiale TF1, ne doivent pas occulter les grandes difficultés qu'engendrent eux-même, autour d'eux, les groupes de presse, ! Ainsi on le devine, si le partenariat entre l' Improbable Compagnie et " La vraie chaîne" n'était pas ficelé pour plusieurs années et ce avec des clauses léonines imposées par la TV , il y a fort à parier que les responsables des Escapades en Velay y aurait mis un terme depuis belle lurette ( non ! Laurette c'est autre chose ! ). En effet qui ne se souvient pas de l'attitude tout à fait déplorable de Neliol Sela (et Chris Fluet déjà ! ), alors journaliste vedette de " La Vraie ", à l'égard du Professeur Emile Duchemin au cours de l'édition 2007 ? Un photographe ami ( une d'ailleurs ) n' a-t-il (t- elle ! ) pas surpris l'année dernière, les deux complices occupés à dire des choses dans le dos des gens comme on le voit sur la photo de Gauche !
On le sait depuis, pour plusieurs raisons la position de Neliol a changé ( voir billet du…………… ) et n'était plus compatible avec les intêréts de la chaîne, au point qu'il a même dû changer de métier et s'est reconverti, parait-il, dans la chaussure de luxe, affaire dans laquelle pour le "fun" il souhaiterait pouvoir entrainer le Garou, enfin retropuvé et en cours de réhabilitation à propos de l'affaire des Narces, alors que , bien que les choses soient apparemment sans lien on apprends que Rose serait en attente ?
Alors qu'on pensait avoir connu le pire l'année dernière, ce n'était rien à côté de ce que nous a réservé pour cette édition , celui qui l'année dernière n'était que l'assistant du Grand Sela, à savoir Chris Fluet . Aggrésivité, contre-vérités, procès d'intention, calomnies, polémiques, provocations, ironie, tentative de détournements d'attention, fanfaronnades, rodomontades…tout y est passé ! Il n'est qu'a voir, par exemple, sur la photo ci-dessus le terrible face à face que Chris le Fieleux - c'est ainsi que le nomme ses collègues et non pas amis du club de la presse de "la Verveine "- tente d'imposer à Emile Duchemin obligé de se réfugier dans un arbre ! On se demande jusqu'où cela aurait-il pû aller si, les stagiaires , venus là pour apprendre, n'avaient exhorté Emile à redescendre, tout en tournant dédaigneusement le dos au Foireux…non au Fieleux, on vous dis ! Il n'est qu'a prêter attention à l'article de l'excellent Christophe Tessier paru dans la Tribune-Le Progrés pour comprendre comment "Mosieur Fluet " ( enfin de face, quel courage ! ), dans toutes les circonstances, tente de tirer la couverture à lui , alors qu'il n'a même pas remarqué, que nous ne sommes qu'en page intérieur du journal ! Un vrai nul ce Filandreux !… et merci à Christophe d'avoir sû resister à Chris !
Chris Fluet ne sait faire que l'intéressant, mais qu'il fasse bien attention: il pourrait y avoir de beaux jours pour Poivre d'Arvor sur " La vraie chaîne"…et peut-être plus tôt qu'on le croit ! Que le freluquet - le freluquet ou le Fluet pour nous c'est pareil - se le tienne pour dit !!!

Signé :
Comité de soutien à Emile Duchemin .

( Mise en garde : malgré une ressemblance certaine Chris Fluet ne doit pas être confondu avec Christophe Huet dit Coke honorable comédien dont la famille et lui même sont bien connus et considérés par la Gent pônote . Priére de faire circuler cette info pour que rien de facheux n'arrive à notre coke pas plus qu'à sa basse-cour …coucou Nadége !)


"Bonjour, c'est la presse !" ...
La tribune - Le Progrès du mardi 10 juin 2008





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à propos de la science subtile de l'égarement…
Extrait de la préface de Jean-Claude Pirotte à " la chronique fabuleuse " d ' André Dhôtel .
















mardi 10 juin 2008

Duchemin et Ulysse : l'improbable rencontre !

C'est , aprés avoir quitté " La Mappemonde ", à la sortie du Puy , passé Espaly là où la Borne découpe le Rocher Saint-Joseph, tout juste à proximité de l'endroit où une piscine s'est noyée, qu'Emile Duchemin rencontra Ourga , venant des Estables . Les deux hommes se connaissaient déjà pour s'être cotoyés, quelques années auparavant, sur la trace du train fantôme, à travers le Pays des passages, à la recherche duquel, partant d'endroits différents, ils s'étaient mis en route . Ourga avait quant à lui, établi depuis longtemps un compagnonnage avec le Garou et c'est ainsi qu'on peut, trés distinctement, sur la photo ci jointe les voir ensemble déjà à cette occasion . On notera que déjà aussi, à cette époque il n'était pas rare que Duchemin se réfugia dans les arbres , la peur des singes déjà ? Notez que depuis il continue ! Peur des singes encore ?
Ce matin là , qu'on va dire de la Mappemonde, Ourga était parti à la recherche du Garou que quelques temps avant, on avait annoncé mort, tué, au cours d'une poursuite avec les gendarmes du côté des Narces . Mais lui , l' Ami , avec ces antennes empathiques dont l'avait doté la Marion des herbeaux, il percevait bien les ondes amicales qui lui rapportaient que le Garou était vivant, que c'était Rose l'infirmiére qui l'avait tiré de ce mauvais pas et qu'il vivait pour un temps caché dans une grotte au bout de la Pinatelle du zouave , à deux pas sous le château perdu, et dont l'entrée était dissimulée dans la forêt .
La Pinatelle du Zouave !… c'était justement par là que passait l'itinéraire de Duchemin parti sur les traces de l'indien …alors, les deux hommes décidérent qu'ils chemineraient de concert , aprés toutefois qu'ensemble ils eurent fumé de douces pipes comme il arrivait à Giono de le dire .
Ce n'est guére plus loin qu'il rencontrérent Ulysse - sans bien sûr connaitre déjà à ce moment là son nom, pas même le soupçonner - qui faisait tremper une grande râme maritime dans les eaux de la Borne de peur leur dit-il qu'elle s'en vint à sécher et qu'à la fin elle ne se fendent ! Lui aussi leur avoua que pour un motif encore différent de chacun des leurs il avait à faire à La pinatelle du zouave, et comme la côte qui permet de l'atteindre en passant par la………… débutait juste aprés avoir franchi la Borne -normal non ! - ce ne seront plus deux mais trois compagnons qui se présenteront là-haut, aux voyageurs à pieds venus à leur rencontre afin de grossir le cortége qui se proposait sous la conduite de Duchemin et dans les pas de l'Indien de traverser la face cachée à la rencontre de l'Origine !
Avant de poursuivre plus avant on saura ce qu'Ulysse - en route depuis si longtemps- était venu chercher là où on lui avait dit que demeurait le petit peuple des Boulanges qui enfournait des pains sans sel avec des rames à miches, dites aussi en ces terres intérieures : Pelles de boulanger ! Cette histoire sans queue ni tête lui avait été rapportés, histoire de fanfaronner,par des pêcheurs du Dimanche et à laquelle, désireux de poser rames et bagages au terme d'un si long voyage, il avait cru mordicus ! Cette histoire invraisemblable, qui lui avait-on dit était confidentielle, l'avait bien sûr toutefois précédée comme le font la plupart du temps les secrets ! C'est ainsi que rendu au carrefour des cabannes il s' offrit à la risée des Leveuses du plateau - compagnes des fameux "précédents", qu'Ulysse un instant envisagea d'éliminer - qui perchées comme des poules dans les pins biscornus caquetérent son histoire à la cantonnade alors qu'elles n'avaient même jamais lu du Sieur Homére l'Illiade et encore moins l'Odyssée !
Duchemin dû ramener très vite tout ce monde à la raison et faire cesser ce chahut ce qu'il fit en parlant de l' Indien, ce qui en ces lieux- en plus de faire diverssion - convenons en, était aussi manière d' échapper à trop d'exotisme ! Car Ulysse dans ces bois, tenant dans sa bouche une langue morte, c'était vraiment trop et c'est pourquoi celui -ci, penaud se tenant de dos, à l'écart, grommela dns la barbe qu'il n'avait pas d'ailleurs , le reste du voyage un fromage de texte où l'on croyait parfois distinguer l' histoire d'une horde qui………
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Les caqueteries des Leveuses et de Lionel Alés sont en commentaire ( cliquer sur commentaire au fond de cet article )
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Aprés le passage de l'Indien, "le château perdu " va-t-il retrouver son nom et son droit de cité ? La cascade de l'homme debout va-t-elle retrouver un accés public le long de l'ancienne rase d'irrigation ? Les vignes oubliées des "Fours de Chanciaux " vont-elles accueillir des visiteurs dans "le jardin des Epierreurs " où fleuriraient des sculptures ? …et tant d'autres questions posées au Maire de Polignac et ses conseillères et conseillers le Monde désormais a le regard braqué sur eux et s'il peut comprendre que pour le Mémorial de la mémoire indienne il est peut être sage d' attendre un peu , pour le reste, il est sans doute plus impatient …










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